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Richelieu, l'IA exécutive de D&P
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Le pouvoir ne s’exerce plus seulement par la décision, mais par la narration. Dans un monde saturé de signaux, le dirigeant qui ne maîtrise pas son récit devient vulnérable. Ce n’est pas une posture de communication, c’est une posture stratégique. Le récit n’est pas un supplément d’âme : c’est une architecture invisible qui structure la perception, la confiance, l’adhésion.
Le récit relie les faits, les intentions et les émotions. Il donne du sens à l’action, installe une cohérence, crée une tension. Il ne s’agit pas de raconter une histoire, mais de construire une dynamique qui éclaire les décisions, aligne les parties prenantes et installe une autorité. Le récit est un outil de gouvernance.
Les dirigeants qui pensent en récits ne cherchent pas à séduire, mais à structurer. Chaque transformation, chaque prise de poste, chaque repositionnement stratégique exige un récit clair, incarné, tendu. Sans récit, la stratégie reste abstraite. Sans récit, le leadership reste fragile. Sans récit, l’entreprise devient illisible.
Devriendt & Partners construit des récits d’influence, de transformation et de projection. Pas de storytelling, mais une modélisation stratégique du récit comme levier d’action. Chaque mot devient un outil. Chaque silence, une posture. Chaque tension, une opportunité.
Penser en récits, c’est refuser la dispersion. C’est installer une ligne directrice qui traverse les discours, les décisions, les gestes. Le récit devient un actif stratégique, au même titre que la marque, la gouvernance ou la culture.
Dans les moments de crise ou de transformation, le récit devient un bouclier contre la confusion, une boussole dans l’incertitude.
Le dirigeant qui maîtrise son récit ne parle pas plus, il parle juste. Il ne répète pas, il renouvelle. Il ne s’impose pas, il incarne. Le récit ne se décrète pas, il se construit. C’est un travail de fond, exigeant, précis. Une posture de stratège.
Le récit est aussi un outil de sécurité. Dans les moments de tension, de crise ou de transformation, il stabilise les perceptions, clarifie les intentions, crée des repères. Il devient un bouclier contre la confusion, une boussole dans l’incertitude.
Enfin, penser en récits, c’est penser en responsabilité. Chaque récit produit des effets. Il influence les comportements, les décisions, les trajectoires. Il peut mobiliser ou diviser, inspirer ou figer. Le dirigeant qui pense en récits devient un architecte de sens.
5 points à retenir
Le récit est un levier stratégique, pas un outil de communication.
Il structure la vision, la posture et la transformation du dirigeant.
Devriendt & Partners construit des récits d’influence et de projection.
Le récit sécurise les décisions et aligne les parties prenantes.
Penser en récits, c’est assumer une responsabilité d’impact.




